Este blOg é dedicado às minhas queridas sobrinhas ÍriS e Madalena.

domingo, junho 24, 2007

Mafalda Veiga- Tatuagens

Em cada gesto perdido
Tu és igual a mim
Em cada ferida que sara
Escondida do mundo
Eu sou igual a ti

Fazes pinturas de guerra
Que eu não sei apagar
Pintas o sol da cor da terra
E a lua da cor do mar

Em cada grito da alma
Eu sou igual a ti
De cada vez que um olhar
Te alucina e te prende
Tu és igual a mim

Fazes pinturas de sonhos
Pintas o sol na minha mão
E és mistura de vento e lama
Entre os luares perdidos no chão

Em cada noite sem rumo
Tu és igual a mim
De cada vez que procuro
Preciso um abrigo
Eu sou igual a ti

Faço pinturas de guerra
Que eu não sei apagar
E pinto a lua da cor da terra
E o sol da cor do mar

Em cada grito afundado
Eu sou igual a ti
De cada vez que a tremura
Desata o desejo
Tu és igual a mim

Faço pinturas de sonhos
E pinto a lua na tua mão
Misturo o vento e a lama
Piso os luares perdidos no chão...

12 comentários:

Alexandre disse...

Tem alturas em que nos apetece convergir; ser igual.
Tem outras em que damos conta que somos iguais.
A vida te algo de transcendente...

Beijinho.

Carmim disse...

Adoro Mafalda Veiga, gosto desta música em particular.
Acho que todos temos necessidade de "descodificar" os outros, embora muitas vezes o importante seja aprender a amá-los e respeitá-los na diferença.

Beijos

Paula Negrão disse...

Adorei!
Não conhecia nenhum artista português não.

beijos.

Sei que existes disse...

Adoro essa música!
Beijinhos

Chama Violeta disse...

Gostei muito! Não conhecia.
Boa semana e beijos violeta!
http://reacenderachamavioleta.blogspot.com/

Avid disse...

Bela escolha. Gosto imenso dessa e de outras musicas da mafalda Veiga.
Bjs meus

Phantom of the Opera disse...

E porque existe musica que diz aquilo que queremos dizer.

Beijo bem doce

Daniele disse...

Não conhecia magistral cantora, que tanto tem a arte de interpretar com escreve um canto poético!

Belíssimo!

Beijos,

A.S. disse...

Deixo-te um terno beijo... A canção é linda!

A Minha Vida... disse...

Se há alguem que admiro, que tem letras fantásticas, e musicas Lindas, icomensuráveis, é a mafalda veiga... ainda agora estava a ouvi-la, tens bom gosto! =)
Beijo Grande*

Ka_Ka disse...

Ah ! non ! c'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... Oh ! Dieu !... Bien des choses en somme.
En variant le ton, -par exemple, tenez :
Agressif : "Moi, monsieur, si j'avais un tel nez
Il faudrait sur-le-champ que je l'amputasse !"
Amical : "Mais il doit tremper dans votre tasse :
Pour boire, faites-vous fabriquer un Hanape !"
Descriptif : "C'est un roc!... C'est un pic!... C'est un cap!...
Que dis-je, c'est un cap?... C'est une péninsule!"
Curieux : "De quoi sert cette oblongue capsule ?
D'écritoire, monsieur, ou de boîte à ciseaux ?"
Gracieux : "Aimez-vous à ce point les oiseaux
Que paternellement vous vous préoccupâtes
De tendre ce perchoir à leurs petites pattes?"
Truculent : "Ca, monsieur, lorsque vous pétunez,
La vapeur du tabac vous sort-elle du nez
Sans qu'un voisin ne crie au feu de cheminée ?"
Prévenant : "Gardez-vous, votre tête entraînée
Par ce poids, de tomber en avant sur le sol !"
Tendre : "Faites-lui faire un petit parasol
De peur que sa couleur au soleil ne se fane !"
Pédant : "L'animal seul, monsieur, qu'Aristophane
Appelle Hippocampéléphantocamélos
Dut avoir sous le front tant de chair sur tant d'os !"
Cavalier : "Quoi, l'ami, ce croc est à la mode?
Pour pendre son chapeau, c'est vraiment très commode !"
Emphatique : "Aucun vent ne peut, nez magistral,
T'enrhumer tout entier, excepté le mistral !"
Dramatique : "C'est la mer Rouge quand il saigne !"
Admiratif : "Pour un parfumeur, qu'elle enseigne !"
Lyrique : "Est-ce une conque, êtes-vous un triton ?"
Naïf : "Ce monument, quand le visite-t-on ?"
Respectueux : "Souffrez, monsieur, qu'on vous salue,
C'est là ce qui s'appelle avoir pignon sur rue !"
Campagnard : "Hé, ardé ! C'est-y un nez ? Nanain !
c'est queuqu'navet géant ou ben queuqu'melon nain !"
Militaire : "Pointez contre cavalerie !"
Pratique : "Voulez-vous le mettre en loterie ?
Assurément, monsieur, ce sera le gros lot !"
Enfin parodiant Pyrame en un sanglot:
"Le voilà donc ce nez qui des traits de son maître
A détruit l'harmonie ! Il en rougit, le traître !"
- Voila ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettre
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permet pas qu'un autre me les serve.

Lya disse...

A mafalda tem razão...

quando se ama... somos como 2 em 1.
Duas almas num só corpo.

obrigada pela tua visita
voltarei

beijo